No cuentes tus sueños

Publié le par Daniela Aliendre Gonzales

Je vois que peu importe la langue dans laquelle j'écrive, il y aura toujours une partie de personnes qui n'arriveront pas à comprendre ce que j'essaye de dire.

 

Pour faire face à ce problème j'ai décidé de mélanger autant que je peux mes messages, tel comme ils sortent dans les images dans ma tête. En soit oui, je te fais le commentaire, je vois mes mots comme des images, des fois comme des sensations, et plusieurs fois comme des musiques, ce qui rend de plus en plus dure pour moi de communiquer avec les autres sans devoir dessiner dans l'air ce que j'essaye de dire. Demande-moi un numéro de téléphone et tu verras de quoi je parle.

 

L'écrivain calculexique et bipolaire.

 

Je veux te raconter ce que je viens de voir dans mes images. Je vois que je suis incapable par essence de ne pas me donner à 100% dans mes idéalismes. 

 

Je suis amoureuse de plusieurs personnes à la fois, en dépendant aussi du moment de la journée ou de la semaine ça m'arrive de viser mes obsessions sur des personnes de l'autre côté du monde. Je continue à aimer mon premier petit copain, le seul garçon pour lequel j'ai traversé 2 pays en bus, celui qui vient maintenant d'avoir une fille avec son incroyablement belle femme, la fille aux lèvres rouges de Madrid, le garçon qui aimait le métal à Barcelone, mon meilleur ami passioné par la mer et mon âme soeur: mon frère aimant.

 

Capable d'avoir des psychoses imaginaires je sais que la chimie de mon cerveaux fait que mes neuronnes soient hyperactives constamment, assez pour rendre un nouveau Quijote fou à nouveau. 

 

J'ai décidé de prendre en main ma vie, de finir mon diplôme parce que je le veux, de finir un master qui m'aidera trouver un travail qui me passionne, et surtout de rretourner à ma grande passion: écrire. 

 

Je maintiendrai ce blog simplement pour l'utiliser de moyen de communication de folies, rêves, moments d'inspiration absolument subjectifs avec toi ma chère joie. Même si de moins en moins tu me lis, tu as continué avec ta vie et tu n'as pas trop de temps pour lire mes monologues avec des odes à l'amour, la nature, et la vie. Tel comme pendant ces dernières 5 années je n'ai pas eu assez de temps pour voir au delà de mon nez dans ta vie. Je suis désolée d'avoir été dans la saison de l'égoïsme de la vie. 

 

Mesurons donc la vie avec des moments d'amour, et pas dans le sens nié du mot ! tu me connaîs assez pour savoirbasil-fish-7.jpg que je ne parle pas de l'amour fraise avec du caramel, je parle de l'amour qu'on ressent l'une pour l'autre. Tu es ma mère, mes soeurs, ma nièce, ma famille, mes frères et soeurs choisis, mes amoureux, mes enfants futurs... la pluie, le soleil, la neige, les fleurs et tout ce qui me fait sourire. Ma chère joie, tu es l'amour le plus grand de ma vie, le plus parfait et le plus imparfait, chaque histoire dans ta vie fait partie de la mienne, et je vais écrire sur tes aventures à partir de la prochaine fois d'inspiration soudaine.

 

Fêtons donc, fêtons que chaque jour que passe, on le prendra des deux bouts et on esseyera d'en faire le mieux. Fêtons que quoi qu'il arrive on aura toujours l'une dans la vie de l'autre, toutes les religions que j'admire je les ai apprises de toi, et je prie à tous tes dieux de te laisser apprendre autant aussi. 

 

J'ai trouvé l'autre jour un poisson sur un vélo, je l'ai ramené chez moi, mis des épices dessus et mis au four !

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Publié dans Aprendizage | Learning

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